Evoquant la situation politique actuelle en Tunisie , Tahar Hmila, membre de l’ANC , et lors d’une interview sur les ondes de la radio Cap FM, a présenté une évaluation de l’action du gouvernement . Hmila a déclaré que le mouvement Enahdha a plongé le pays dans la crise en raison de son manque d’expérience, de l’accumulation de ses erreurs et de l’incapacité des ministres en poste à conduire la politique du pays. Il a indiqué que Enahdha manque d’esprit patriotique et méconnait la prestigieuse histoire de la Tunisie .
De même, Tahar Hmila a expliqué l’échec du gouvernement par le faite que ce dernier « ne croit pas en la révolution » , laquelle n’a été, selon lui , « qu’un moyen pour réaliser ses objectifs politiques et non pas pour œuvrer au service du pays » Il a déclaré qu’au contraire , le gouvernement a plongé le pays dans le Wahabisme et l’extrémisme alors que le pays est plus proche d’un Islam modéré et fort éloigné du wahabisme . Il a estimé que la conversion à ce dernier courant est une dévoiement du véritable Islam .
Le membre de l’ANC a comparé l’équipe dirigeante d’Enahdha « aux sept Abdullah venus conquérir le pays » , faisant assumer la responsabilité de ce qui se passe aujourd’hui, en Tunisie, au président d’Enahdha, Rached Ghannouchi , devenu ,selon lui , « un poids pour le peuple » en raison de « ses appels à la violence et de ses encouragements au terrorisme et à l’extrémisme . Il a indiqué qu’un tel comportement est dangereux et « porte les germes d’une guerre civile catastrophique ».
Par ailleurs, Tahar Hmila a déclaré que la présence de Attakatol et CPR au gouvernement et purement formel dans la mesure où Enahdha monopolise le pouvoir. Il a ajouté que cette dernière, en raison de son laxisme et de ses orientations extrémistes a jeté le pays dans une situation semblable à celle vécue par la Somalie surtout après l’introduction dans le territoire tunisien d’une quantité massive d’armes mais il s’est montré, en revanche, « rassuré par la présence d’une institution militaire qui a sauvé avec honneur le pays d’une guerre qui était imminente ».
D’autre part Tahar Hmila a évoqué ce qu’il a appelé « le chao qui a envahi les mosquées devenues des lieux d’appel aux affrontements et d’incitation à la violence », invitant le gouvernement à maitriser la situation dans les lieux de prières et à adopter une loi définissant le profil des personnes habilitées à prononcer les sermons religieux dans les mosquées .
Enfin, le député de l’ANC a adressé deux messages , le premier invitant Rached Ghannouchi « à craindre Allah pour lui-même et pour le bien de la Tunisie » , le second rappelant à Beji Caid Essebsi « les fautes qu’il avait commises lorsqu’il était au pouvoir et ( l’invitant ) à les corriger »
De même, Tahar Hmila a expliqué l’échec du gouvernement par le faite que ce dernier « ne croit pas en la révolution » , laquelle n’a été, selon lui , « qu’un moyen pour réaliser ses objectifs politiques et non pas pour œuvrer au service du pays » Il a déclaré qu’au contraire , le gouvernement a plongé le pays dans le Wahabisme et l’extrémisme alors que le pays est plus proche d’un Islam modéré et fort éloigné du wahabisme . Il a estimé que la conversion à ce dernier courant est une dévoiement du véritable Islam .
Le membre de l’ANC a comparé l’équipe dirigeante d’Enahdha « aux sept Abdullah venus conquérir le pays » , faisant assumer la responsabilité de ce qui se passe aujourd’hui, en Tunisie, au président d’Enahdha, Rached Ghannouchi , devenu ,selon lui , « un poids pour le peuple » en raison de « ses appels à la violence et de ses encouragements au terrorisme et à l’extrémisme . Il a indiqué qu’un tel comportement est dangereux et « porte les germes d’une guerre civile catastrophique ».
Par ailleurs, Tahar Hmila a déclaré que la présence de Attakatol et CPR au gouvernement et purement formel dans la mesure où Enahdha monopolise le pouvoir. Il a ajouté que cette dernière, en raison de son laxisme et de ses orientations extrémistes a jeté le pays dans une situation semblable à celle vécue par la Somalie surtout après l’introduction dans le territoire tunisien d’une quantité massive d’armes mais il s’est montré, en revanche, « rassuré par la présence d’une institution militaire qui a sauvé avec honneur le pays d’une guerre qui était imminente ».
D’autre part Tahar Hmila a évoqué ce qu’il a appelé « le chao qui a envahi les mosquées devenues des lieux d’appel aux affrontements et d’incitation à la violence », invitant le gouvernement à maitriser la situation dans les lieux de prières et à adopter une loi définissant le profil des personnes habilitées à prononcer les sermons religieux dans les mosquées .
Enfin, le député de l’ANC a adressé deux messages , le premier invitant Rached Ghannouchi « à craindre Allah pour lui-même et pour le bien de la Tunisie » , le second rappelant à Beji Caid Essebsi « les fautes qu’il avait commises lorsqu’il était au pouvoir et ( l’invitant ) à les corriger »
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